Jeudi (08/10/20)
30 ans
Bordel de crotte, que le temps passe vite !
J'ai eu 30 ans aujourd'hui, et c'était l'angoisse depuis au moins une semaine.
Pourquoi ?
Parce que dans ma tête, entre mon tempérament de dépressive, les accidents parfois stupide qui arrivent dans la vie, les maladies, les agressions etc. je me suis toujours dis que je ne passerai pas les 30 ans.
Cet espèce de cap a été atteint aujourd'hui.
Comme ça ne va pas du tout et que je gère rien en ce moment, j'ai véritablement cru qu'au dernier jour j'allais me décider à tout arrêter. Même si ça allait plus ou moins, ce cap tellement incongru pour mon cerveau était impossible à concevoir pour mon mental, et que j'allais réellement me tuer pour donner raison à ma non-raison.
Mais ça y est, nous sommes le 7 octobre 2020 et il est approximativement 23h58.
J'ai officiellement 30 ans.
La plupart des gens se disent "chouette, j'ai atteint 30 ans".
Moi je me dis plutôt "mais qu'est-ce que je fous encore là depuis 30 ans ?"
L'une des raisons pour lesquelles ça a été, c'est que je me suis arrêtée pour, de nouveau, dépression (confinement fidèle au poste, mais post-covid, je ne supportais plus mes collègues).
J'ai repris ma thérapie wowienne, mais version classic.
Deuxième et non des moindres, malgré mon absolue réticence à fêter ces fichues 30 années ou presque de souffrances, c'est qu'on m'a VRAIMENT obligée à les fêter et à sortir de chez moi.
Au début c'était simple: je ne voulais même pas en entendre parler (je me disais que j'allai en finir avant).
Mais Ma Perle m'a dit "j'ai réfléchis, et il est HORS DE QUESTION que tu ne fasses rien pour tes 30 ans".
Après quelques "pourparlers" plus ou moins houleux j'ai cédé: A défaut du parc Astérix fermé, on allait à Disneyland ! (Le mois d'octobre, les méchants sont à l'affiche mwahahaha !)
Résultat plutôt mitigé, les entrées très très chères, je n'ai pas vu Maléfique et il n'y a pas eu de parade, en plus du Rock'n'Roller Coaster fermé.
MAIS j'ai pu faire la TOUR DE LA TERREUR. Et ils ont remasterisé le Manoir Hanté !!! :D
La tour de la terreur, c'est une sorte d'ascenseur sur 13 étages, qui monte et descend. Ma Perle a horreur de ça. Il est venu quand même.
Mais cette attraction me donne des ailes. Je me sens apaisée lorsque lâchée dans le vide. Je lâche (enfin) complètement prise.
Ca m'a fait du bien, mal aux papattes à force de marcher, mais ça me fait de bons souvenirs (j'ai fait une photo avec Mister Jack !!!!!, et la peur de ma Perle à la Tour , ça vaut tout l'or du monde), et je n'ai pas eu le temps de ruminer ou de planifier mon meurtre.
Petit bonus de la soirée: on a été à la crêperie de chez moi que j'aime, et c'était très bon ! On a bien bu et on a bien parlé !
Pour conclure, ce fut une plus ou moins bonne arrivée dans la trentaine.
Il faut juste que je revois ma façon de voir les choses du futur, non pas au jour le jour (j'peux crever à tout moment), mais je me rend compte maintenant, que peut être un jour, j'atteindrais la cinquantaine, voire la soixantaine, et qu'il va falloir que je vois un peu plus loin que le bout de mon nez et que je commence à planifier.
Voilà pour le résumé !
A bientôt, peut être !
PS: Ca fait un mois que j'ai arrêté de fumé, pas mal hein ?!
J'ai eu 30 ans aujourd'hui, et c'était l'angoisse depuis au moins une semaine.
Pourquoi ?
Parce que dans ma tête, entre mon tempérament de dépressive, les accidents parfois stupide qui arrivent dans la vie, les maladies, les agressions etc. je me suis toujours dis que je ne passerai pas les 30 ans.
Cet espèce de cap a été atteint aujourd'hui.
Comme ça ne va pas du tout et que je gère rien en ce moment, j'ai véritablement cru qu'au dernier jour j'allais me décider à tout arrêter. Même si ça allait plus ou moins, ce cap tellement incongru pour mon cerveau était impossible à concevoir pour mon mental, et que j'allais réellement me tuer pour donner raison à ma non-raison.
Mais ça y est, nous sommes le 7 octobre 2020 et il est approximativement 23h58.
J'ai officiellement 30 ans.
La plupart des gens se disent "chouette, j'ai atteint 30 ans".
Moi je me dis plutôt "mais qu'est-ce que je fous encore là depuis 30 ans ?"
L'une des raisons pour lesquelles ça a été, c'est que je me suis arrêtée pour, de nouveau, dépression (confinement fidèle au poste, mais post-covid, je ne supportais plus mes collègues).
J'ai repris ma thérapie wowienne, mais version classic.
Deuxième et non des moindres, malgré mon absolue réticence à fêter ces fichues 30 années ou presque de souffrances, c'est qu'on m'a VRAIMENT obligée à les fêter et à sortir de chez moi.
Au début c'était simple: je ne voulais même pas en entendre parler (je me disais que j'allai en finir avant).
Mais Ma Perle m'a dit "j'ai réfléchis, et il est HORS DE QUESTION que tu ne fasses rien pour tes 30 ans".
Après quelques "pourparlers" plus ou moins houleux j'ai cédé: A défaut du parc Astérix fermé, on allait à Disneyland ! (Le mois d'octobre, les méchants sont à l'affiche mwahahaha !)
Résultat plutôt mitigé, les entrées très très chères, je n'ai pas vu Maléfique et il n'y a pas eu de parade, en plus du Rock'n'Roller Coaster fermé.
MAIS j'ai pu faire la TOUR DE LA TERREUR. Et ils ont remasterisé le Manoir Hanté !!! :D
La tour de la terreur, c'est une sorte d'ascenseur sur 13 étages, qui monte et descend. Ma Perle a horreur de ça. Il est venu quand même.
Mais cette attraction me donne des ailes. Je me sens apaisée lorsque lâchée dans le vide. Je lâche (enfin) complètement prise.
Ca m'a fait du bien, mal aux papattes à force de marcher, mais ça me fait de bons souvenirs (j'ai fait une photo avec Mister Jack !!!!!, et la peur de ma Perle à la Tour , ça vaut tout l'or du monde), et je n'ai pas eu le temps de ruminer ou de planifier mon meurtre.
Petit bonus de la soirée: on a été à la crêperie de chez moi que j'aime, et c'était très bon ! On a bien bu et on a bien parlé !
Pour conclure, ce fut une plus ou moins bonne arrivée dans la trentaine.
Il faut juste que je revois ma façon de voir les choses du futur, non pas au jour le jour (j'peux crever à tout moment), mais je me rend compte maintenant, que peut être un jour, j'atteindrais la cinquantaine, voire la soixantaine, et qu'il va falloir que je vois un peu plus loin que le bout de mon nez et que je commence à planifier.
Voilà pour le résumé !
A bientôt, peut être !
PS: Ca fait un mois que j'ai arrêté de fumé, pas mal hein ?!
Ecrit par Volesprit, à 00:16 dans la rubrique Divers blablas.
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Lundi (04/02/19)
... ²
Je n’ai jamais été douée pour annoncer certaines choses.
Par contre, s’il y a bien une chose qui m’horripile c’est qu’on me mente.
Alors voilà : on m’a menti. Sur une chose très importante.
Qu’est-ce qu’il se passe en ce moment ? Qu’est-ce qui ne va pas encore dans mon petit monde ?
Ma grand-mère est à l’hôpital. Depuis le 31 décembre, elle est dans le coma. Aucun réveil possible. Bilan neurologique catastrophique.
Samedi, j’ai eu le courage d’y aller pour lui faire mes adieux, à son âge… C’est perdu d’avance.
Après des déboires plus ou moins habituels avec la sncf, je suis arrivée à l’hôpital. Et quel hôpital !
La moitié des bâtiments abandonnés, deux ou trois services qui se battent encore en duel, et basta.
Le tout, très mal indiqué.
Bref. Je trouve enfin la chambre de ma mamie.
Et là je me dis que j’ai du mal comprendre le numéro de la chambre. Je ne reconnaissais pas la personne qui était dans ce lit. Je me suis trompée ?
Non. La preuve est bel et bien là : le nom indiqué est le bon. Allons bon, ma pauvre mamie, mais qu’est-ce qu’ils t’ont fait ? Les chutes du Niagara dans mes yeux. Ce petit corps tout amaigri dans ce lit trop grand, qui dort et qui semble rêver, ma grand-mère ? Impossible !
Et pourtant, les rides de ses yeux, le nez, les cheveux grisonnants… C’est pourtant bien elle. Ça m’a sonné. Je n’imaginais pas ça. Ça m’a ôté tous les mots que je pensais pouvoir lui dire. Je me suis retrouvée muette et en sanglots devant le désastre.
J’ai fini par me reprendre, convaincue que de toute façon. J’étais là pour des adieux. Si ce n’était pas la preuve que tout allait finir bientôt que j’avais sous mes yeux, qu’est-ce que ça pouvait être d’autre ?
Après des bisous, des caresses, des pleurs et des au revoir, on m’a interrompue pour des soins. Je m’apprêtais à partir quand l’une des infirmière m’a signalé que je pouvais y retourner, et qu’elle était un peu réveillée. L’infirmière pas du tout choquée, et moi en mode « hein ? ».
Juste « hein ? » même pas de « quoi ? Kesskelladitlà ? ». Juste « heiiin ? »
Définitivement, en mode wtf, je décide de m’en assurer moi-même.
Effectivement, elle a les yeux ouverts, les rides plus accentuées, l’air plus « vivante » que tout à l’heure. Je décide de rester. De lui parler. L’infirmière lui hurle dans les oreilles un « VOUS AVEZ DE LA VISITE ! VOTRE PETITE FILLE ! » Et moi de me dire que ma pauvre grand-mère, qui n’est absolument pas sourde, allait finir par le devenir si elle subissait ça à chaque visite.
Je lui ai donc parlé, entre deux nouveaux sanglots.
Me comprenait-elle ? Savait-elle où elle se trouvait ?
Je le lui ai brièvement expliqué. L’accident, le coma. Ma surprise, également.
Et elle pleurait. Aussi peu qu’elle le pouvait, n’étant hydratée que par intraveineuse. Mais elle pleurait. Ce qui me laisse imaginer qu’elle pense, qu’elle est. Mais elle n’a pas réagit. Ou elle n’en avait pas la force, ou elle n’en avait pas les moyens. Je crois qu’elle a essayé de me parler. Mais je ne saurais dire si ce n’était que de l’espoir de ma part, ou une manifestation de frustration de sa gorge face à l’assèchement.
« Aucun réveil possible »
…
Je l’ai quittée à contre-cœur en lui disant que je repasserais, qu’il fallait qu’elle se repose en espérant que tout se remette en place.
J’ai interrogé l’infirmière qui m’avait fait bloquer quelques heures auparavant.
Les médecins sont perplexes, ils ne savent pas si elle est vraiment là malgré les réveils.
J’ai appelé mon oncle pour lui dire, et il m’a dit qu’il savait, qu’il l’avait vu « réveillée », mais que lui aussi supposait que c’était vide là haut car elle ne suivait rien des yeux. Ne sait-il donc pas qu’elle est faible et plus ou moins aveugle ?
Je suis la seule à avoir vu ce que j'ai vu ?
Je n’y comprends plus rien.
Par contre, s’il y a bien une chose qui m’horripile c’est qu’on me mente.
Alors voilà : on m’a menti. Sur une chose très importante.
Qu’est-ce qu’il se passe en ce moment ? Qu’est-ce qui ne va pas encore dans mon petit monde ?
Ma grand-mère est à l’hôpital. Depuis le 31 décembre, elle est dans le coma. Aucun réveil possible. Bilan neurologique catastrophique.
Samedi, j’ai eu le courage d’y aller pour lui faire mes adieux, à son âge… C’est perdu d’avance.
Après des déboires plus ou moins habituels avec la sncf, je suis arrivée à l’hôpital. Et quel hôpital !
La moitié des bâtiments abandonnés, deux ou trois services qui se battent encore en duel, et basta.
Le tout, très mal indiqué.
Bref. Je trouve enfin la chambre de ma mamie.
Et là je me dis que j’ai du mal comprendre le numéro de la chambre. Je ne reconnaissais pas la personne qui était dans ce lit. Je me suis trompée ?
Non. La preuve est bel et bien là : le nom indiqué est le bon. Allons bon, ma pauvre mamie, mais qu’est-ce qu’ils t’ont fait ? Les chutes du Niagara dans mes yeux. Ce petit corps tout amaigri dans ce lit trop grand, qui dort et qui semble rêver, ma grand-mère ? Impossible !
Et pourtant, les rides de ses yeux, le nez, les cheveux grisonnants… C’est pourtant bien elle. Ça m’a sonné. Je n’imaginais pas ça. Ça m’a ôté tous les mots que je pensais pouvoir lui dire. Je me suis retrouvée muette et en sanglots devant le désastre.
J’ai fini par me reprendre, convaincue que de toute façon. J’étais là pour des adieux. Si ce n’était pas la preuve que tout allait finir bientôt que j’avais sous mes yeux, qu’est-ce que ça pouvait être d’autre ?
Après des bisous, des caresses, des pleurs et des au revoir, on m’a interrompue pour des soins. Je m’apprêtais à partir quand l’une des infirmière m’a signalé que je pouvais y retourner, et qu’elle était un peu réveillée. L’infirmière pas du tout choquée, et moi en mode « hein ? ».
Juste « hein ? » même pas de « quoi ? Kesskelladitlà ? ». Juste « heiiin ? »
Définitivement, en mode wtf, je décide de m’en assurer moi-même.
Effectivement, elle a les yeux ouverts, les rides plus accentuées, l’air plus « vivante » que tout à l’heure. Je décide de rester. De lui parler. L’infirmière lui hurle dans les oreilles un « VOUS AVEZ DE LA VISITE ! VOTRE PETITE FILLE ! » Et moi de me dire que ma pauvre grand-mère, qui n’est absolument pas sourde, allait finir par le devenir si elle subissait ça à chaque visite.
Je lui ai donc parlé, entre deux nouveaux sanglots.
Me comprenait-elle ? Savait-elle où elle se trouvait ?
Je le lui ai brièvement expliqué. L’accident, le coma. Ma surprise, également.
Et elle pleurait. Aussi peu qu’elle le pouvait, n’étant hydratée que par intraveineuse. Mais elle pleurait. Ce qui me laisse imaginer qu’elle pense, qu’elle est. Mais elle n’a pas réagit. Ou elle n’en avait pas la force, ou elle n’en avait pas les moyens. Je crois qu’elle a essayé de me parler. Mais je ne saurais dire si ce n’était que de l’espoir de ma part, ou une manifestation de frustration de sa gorge face à l’assèchement.
« Aucun réveil possible »
…
Je l’ai quittée à contre-cœur en lui disant que je repasserais, qu’il fallait qu’elle se repose en espérant que tout se remette en place.
J’ai interrogé l’infirmière qui m’avait fait bloquer quelques heures auparavant.
Les médecins sont perplexes, ils ne savent pas si elle est vraiment là malgré les réveils.
J’ai appelé mon oncle pour lui dire, et il m’a dit qu’il savait, qu’il l’avait vu « réveillée », mais que lui aussi supposait que c’était vide là haut car elle ne suivait rien des yeux. Ne sait-il donc pas qu’elle est faible et plus ou moins aveugle ?
Je suis la seule à avoir vu ce que j'ai vu ?
Je n’y comprends plus rien.
Ecrit par Volesprit, à 16:32 dans la rubrique Divers blablas.
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Lundi (28/01/19)
...
J'essaie mais j'y arrive pas.
Je suis fatiguée de sourire alors que dans la tête c'est le bordel.
Tout le monde hurle en même temps, me sors des films qui me font bader.
J'espère comme une abrutie, alors que JE SAIS que c'est terminé.
"Soul Tired".
Je suis fatiguée de sourire alors que dans la tête c'est le bordel.
Tout le monde hurle en même temps, me sors des films qui me font bader.
J'espère comme une abrutie, alors que JE SAIS que c'est terminé.
"Soul Tired".
Ecrit par Volesprit, à 16:21 dans la rubrique Divers blablas.
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Lundi (29/01/18)
Encore un an
--> ...
Ça fait longtemps, mais je regrette toujours autant.
Et ça continue de revenir, revenir, revenir. J'ai tellement mal.
Ça aurait sûrement été moins douloureux si seulement je n'avais pas réussi à rester en vie.
C'est triste à dire, mais il y a ces moments de vide qui me font tomber comme dans une spirale.
Et je pense à elle, aussi. J'espère qu'avec le temps pour elle c'est moins douloureux.
J'ai l'impression que plus le temps passe, plus il m'est difficile d'aller bien à ce moment de l'année. Je suis coupable de tellement de choses. Et je m'en veux, et à elle aussi de nous avoir laissées.
Et à Lui, tellement. Tellement ! J'arrive pas à passer au dessus des choses, alors je culpabilise de ne pas y arriver complètement, et je me dis pleins de trucs.
J'aurais du faire ceci, cela. Maintenant j'ai mal d'avoir fui, et puis j'ai mal de leur en vouloir. Parce que je suis fautive aussi. J'en veux à moi bien plus qu'à eux...
Et ça continue de revenir, revenir, revenir. J'ai tellement mal.
Ça aurait sûrement été moins douloureux si seulement je n'avais pas réussi à rester en vie.
C'est triste à dire, mais il y a ces moments de vide qui me font tomber comme dans une spirale.
Et je pense à elle, aussi. J'espère qu'avec le temps pour elle c'est moins douloureux.
J'ai l'impression que plus le temps passe, plus il m'est difficile d'aller bien à ce moment de l'année. Je suis coupable de tellement de choses. Et je m'en veux, et à elle aussi de nous avoir laissées.
Et à Lui, tellement. Tellement ! J'arrive pas à passer au dessus des choses, alors je culpabilise de ne pas y arriver complètement, et je me dis pleins de trucs.
J'aurais du faire ceci, cela. Maintenant j'ai mal d'avoir fui, et puis j'ai mal de leur en vouloir. Parce que je suis fautive aussi. J'en veux à moi bien plus qu'à eux...
Ecrit par Volesprit, à 17:35 dans la rubrique Divers blablas.
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Jeudi (27/07/17)
Rétrospective
Depuis quelques temps, j'avais un sentiment de vide que je connaissais bien.
Ca m'a donné matière à réfléchir... Parfois trop, en boucle, en boucle, en boucle, et j'ai commencé à avoir peur. J'ai eu peur de rechuter.
Assez paradoxalement, plus j'avais peur de rechuter, plus j'y pensais, plus ça me stressais, moins je dormais bien... Et plus j'allais mal. Ce qui m'angoissait encore plus.
A part cette peur... Le vide. Ce putain de vide émotionnel que je redoute plus que tout à présent. On me parle, je répond. Parfois au ralenti, parfois à côté de la plaque, parfois sans réfléchir et ça blesse.
On me taquine, je souris. Je souris... Parfois. Souvent, je m’énerve intérieurement, et de nouveau parfois, ça fuse. J'ai blessé ma Perle. Je le sais... Et je culpabilise. Ce n'est pas ce que je veux ! Pourquoi j'ai fait ça ? Qu'est-ce qui ne va pas chez moi, à la fin ? Je suis tellement désolée pour ma Perle que je vais m'excuser, ou plutôt, j'essaye de m'excuser. Car pour pouvoir être pardonnée, il faut réussir à s'expliquer. Sauf que là... Le Néant, le Vide Intersidéral entre mes neurones. Je ne sais pas pourquoi j'ai été méchante. Pourquoi à ce moment précis je l'ai envoyé bouler alors que ça n'avait pas lieu d'être ? Pourquoi cette réaction excessive ? Et pourquoi j'ai envie de pleurer alors qu'il me prends dans ces bras en m'expliquant que ce n'est pas grave ?
Je ne me comprenais pas.
Alors j'ai décidé, sur un petit projet personnel, et parce que récemment j'ai trouvé une formidable chaine Youtube (https://www.youtube.com/channel/UCX8otme2Fbc17zwXlfu4yvw/featured), de faire une rétrospective de ce que je ressentais à la Première Grosse, Enorme et surtout, incontrôlée Déprime.
Celle qui m'a finalement faite diagnostiquée, traitée et soulagée.
Soulagée, parce qu'on m'a enfin donné à nom à ce que j'avais, à l'époque, depuis plusieurs années. Et plus tôt que cette fois là, pendant quelques mois. Et encore avant... 4 en tout. Plus ou moins graves. Je ne parle pas de Déprime. Je parle de ce que les médecins appellent TS: les Tentatives de Suicide.
On a donné un nom à ce que je cachais honteusement. Je n'avais pas réussi à faire ce que j'avais entrepris. 4 fois. Mon Dieu. Quand j'y pense !
2 fois au lycée. Une fois entre le lycée et le travail. Et... Une dernière fois, où je suis passée proche de ce que je souhaitais, il y a maintenant quelques années.
Alors, comment, depuis le lycée et ma première tentative, j'avais réussi à tenir entre deux TS ?
Tout simplement, parce que je n'avais plus de raison d'essayer.
Là, quand j'en parle, généralement les gens décrochent. "Plus de raison d'essayer". Ca fait tilt dans la tête ce genre de phrase, parce que ce n'est pas quelque chose qui s'exprime avec des mots. Dis comme ça, on dirait que j'avais planifier les choses avec soin à chaque fois. Sauf que non, pas du tout.
Mon cerveau, et non pas moi qui vous écrit, n'avait plus de raison d'essayer de trouver une solution à un problème donné, puisque je n'avais plus de "problèmes": j'avais, moi, réussi à reprendre le dessus. Grâce à des choses, ou à des gens qui m'ont conseillées et/ou accompagnées dans un processus d'identification du problème et de sa résolution. Mon cerveau pouvait respirer et re-fonctionner correctement sans carburer... Dans le vide. Car seul, il tournait en rond. Et pour arrêter la boucle, il y avait une solution: faire STOP. Déconnecter. Mourir.
Ca n'était pas conscient, donc ça n'est pas exprimable.
Mais, je vais essayer, en retraçant un peu ce qu'il se passait il y a quelques années, de faire le tri, et en mettant en mots, en phrases ce qui me semble le plus proche de ce que je ressentais.
Les moments les plus notables, évidement, sont ceux où j'étais avec Laurent, dans un appartement petit et assez isolé, où il fallait nécessairement avoir une voiture pour aller faire des grosses courses, aller bosser, sortir s'amuser etc.
Le problème, c'est que je n'ai jamais eu le permis, ou plus exactement, je n'ai jamais essayé de le passer, car honnêtement, j'ai peur d'écraser une petite vieille pendant que je regarderai bêtement un papillon.
Donc, de moi-même, physiquement, j'étais isolée.
Ensuite, Laurent étant maladivement jaloux, je parlais de moins en moins à des amis, que ce soit par téléphone ou par internet, car j'en avais assez de devoir expliquer avec qui, de quoi, d'où on se connaissait, et si je ne répondais pas ou que j'avais le malheur de sourire, de voir Laurent se ramener et regarder par dessus mon épaule les conversations.
Ca me fatiguait. Et justement, la fatigue, la voilà.
Laurent adorait les jeux vidéos, et avait de bons vieux horaires de facteur. C'est à dire, que tous les jours ou presque, il rentrait à 14h à la maison, quand moi j'avais mes horaires de bureaux: 18h-18h30 à la maison.
Donc, Laurent lorsqu'il rentrait, était fatigué. Par conséquent, il faisait une sieste ô combien bénéfique pour lui l'après midi, et se réveillait lorsque je rentrais... Et bien que je sois fatiguée, je ne pouvais pas faire de sieste.
Pourquoi ? Parce que malgré le CASQUE audio qui nous avait couté un bras, Laurent ne s'en servait jamais.
Autrement dit, dès que j'arrivais à la maison, j'endurai pendant des heures, jusque tard dans la nuit les bruits des jeux vidéos... Et je ne me reposais donc jamais vraiment. Fatigue.
On ne note pas très bien l'importance de la fatigue à répetition lorsque l'on travaille, car généralement, il y a toujours des moments dans la semaine où on dort. Moi... Non. J'ai passé presque 3 ans à ne dormir que quelques heures par semaines. Et alors, j'avais des horaires de travail (forcés, car je n'avais pas de voiture) horribles: j'arrivais au travail à 7... Et je repartais à 17h30. Sauf le vendredi béni où je terminais à 16h30.
Mes journées étaient longues. Très longues. Trop longues. Donc, fatalement...
*La suite au prochain épisode*
Ca m'a donné matière à réfléchir... Parfois trop, en boucle, en boucle, en boucle, et j'ai commencé à avoir peur. J'ai eu peur de rechuter.
Assez paradoxalement, plus j'avais peur de rechuter, plus j'y pensais, plus ça me stressais, moins je dormais bien... Et plus j'allais mal. Ce qui m'angoissait encore plus.
A part cette peur... Le vide. Ce putain de vide émotionnel que je redoute plus que tout à présent. On me parle, je répond. Parfois au ralenti, parfois à côté de la plaque, parfois sans réfléchir et ça blesse.
On me taquine, je souris. Je souris... Parfois. Souvent, je m’énerve intérieurement, et de nouveau parfois, ça fuse. J'ai blessé ma Perle. Je le sais... Et je culpabilise. Ce n'est pas ce que je veux ! Pourquoi j'ai fait ça ? Qu'est-ce qui ne va pas chez moi, à la fin ? Je suis tellement désolée pour ma Perle que je vais m'excuser, ou plutôt, j'essaye de m'excuser. Car pour pouvoir être pardonnée, il faut réussir à s'expliquer. Sauf que là... Le Néant, le Vide Intersidéral entre mes neurones. Je ne sais pas pourquoi j'ai été méchante. Pourquoi à ce moment précis je l'ai envoyé bouler alors que ça n'avait pas lieu d'être ? Pourquoi cette réaction excessive ? Et pourquoi j'ai envie de pleurer alors qu'il me prends dans ces bras en m'expliquant que ce n'est pas grave ?
Je ne me comprenais pas.
Alors j'ai décidé, sur un petit projet personnel, et parce que récemment j'ai trouvé une formidable chaine Youtube (https://www.youtube.com/channel/UCX8otme2Fbc17zwXlfu4yvw/featured), de faire une rétrospective de ce que je ressentais à la Première Grosse, Enorme et surtout, incontrôlée Déprime.
Celle qui m'a finalement faite diagnostiquée, traitée et soulagée.
Soulagée, parce qu'on m'a enfin donné à nom à ce que j'avais, à l'époque, depuis plusieurs années. Et plus tôt que cette fois là, pendant quelques mois. Et encore avant... 4 en tout. Plus ou moins graves. Je ne parle pas de Déprime. Je parle de ce que les médecins appellent TS: les Tentatives de Suicide.
On a donné un nom à ce que je cachais honteusement. Je n'avais pas réussi à faire ce que j'avais entrepris. 4 fois. Mon Dieu. Quand j'y pense !
2 fois au lycée. Une fois entre le lycée et le travail. Et... Une dernière fois, où je suis passée proche de ce que je souhaitais, il y a maintenant quelques années.
Alors, comment, depuis le lycée et ma première tentative, j'avais réussi à tenir entre deux TS ?
Tout simplement, parce que je n'avais plus de raison d'essayer.
Là, quand j'en parle, généralement les gens décrochent. "Plus de raison d'essayer". Ca fait tilt dans la tête ce genre de phrase, parce que ce n'est pas quelque chose qui s'exprime avec des mots. Dis comme ça, on dirait que j'avais planifier les choses avec soin à chaque fois. Sauf que non, pas du tout.
Mon cerveau, et non pas moi qui vous écrit, n'avait plus de raison d'essayer de trouver une solution à un problème donné, puisque je n'avais plus de "problèmes": j'avais, moi, réussi à reprendre le dessus. Grâce à des choses, ou à des gens qui m'ont conseillées et/ou accompagnées dans un processus d'identification du problème et de sa résolution. Mon cerveau pouvait respirer et re-fonctionner correctement sans carburer... Dans le vide. Car seul, il tournait en rond. Et pour arrêter la boucle, il y avait une solution: faire STOP. Déconnecter. Mourir.
Ca n'était pas conscient, donc ça n'est pas exprimable.
Mais, je vais essayer, en retraçant un peu ce qu'il se passait il y a quelques années, de faire le tri, et en mettant en mots, en phrases ce qui me semble le plus proche de ce que je ressentais.
Les moments les plus notables, évidement, sont ceux où j'étais avec Laurent, dans un appartement petit et assez isolé, où il fallait nécessairement avoir une voiture pour aller faire des grosses courses, aller bosser, sortir s'amuser etc.
Le problème, c'est que je n'ai jamais eu le permis, ou plus exactement, je n'ai jamais essayé de le passer, car honnêtement, j'ai peur d'écraser une petite vieille pendant que je regarderai bêtement un papillon.
Donc, de moi-même, physiquement, j'étais isolée.
Ensuite, Laurent étant maladivement jaloux, je parlais de moins en moins à des amis, que ce soit par téléphone ou par internet, car j'en avais assez de devoir expliquer avec qui, de quoi, d'où on se connaissait, et si je ne répondais pas ou que j'avais le malheur de sourire, de voir Laurent se ramener et regarder par dessus mon épaule les conversations.
Ca me fatiguait. Et justement, la fatigue, la voilà.
Laurent adorait les jeux vidéos, et avait de bons vieux horaires de facteur. C'est à dire, que tous les jours ou presque, il rentrait à 14h à la maison, quand moi j'avais mes horaires de bureaux: 18h-18h30 à la maison.
Donc, Laurent lorsqu'il rentrait, était fatigué. Par conséquent, il faisait une sieste ô combien bénéfique pour lui l'après midi, et se réveillait lorsque je rentrais... Et bien que je sois fatiguée, je ne pouvais pas faire de sieste.
Pourquoi ? Parce que malgré le CASQUE audio qui nous avait couté un bras, Laurent ne s'en servait jamais.
Autrement dit, dès que j'arrivais à la maison, j'endurai pendant des heures, jusque tard dans la nuit les bruits des jeux vidéos... Et je ne me reposais donc jamais vraiment. Fatigue.
On ne note pas très bien l'importance de la fatigue à répetition lorsque l'on travaille, car généralement, il y a toujours des moments dans la semaine où on dort. Moi... Non. J'ai passé presque 3 ans à ne dormir que quelques heures par semaines. Et alors, j'avais des horaires de travail (forcés, car je n'avais pas de voiture) horribles: j'arrivais au travail à 7... Et je repartais à 17h30. Sauf le vendredi béni où je terminais à 16h30.
Mes journées étaient longues. Très longues. Trop longues. Donc, fatalement...
*La suite au prochain épisode*
Ecrit par Volesprit, à 13:35 dans la rubrique Divers blablas.
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Jeudi (22/06/17)
Nyaaaaaaah
Bon, j'aurai pleins de choses à dire mais je ne sais pas par quoi commencer.
Déjà, j'ai plus de placard. Enfin, si. J'ai un placard, mais je ne vis pas dedans. J'ai déménagé avec MA Perle.
Ça va faire 1 an et quelques mois déjà que je suis avec elle, (ça passe vraiment vite le temps !) et tout va bien =)
J'ai toujours des petits coups de blues à droite à gauche, mais ma Perle fait de son mieux pour me changer les idées quand ça m'arrive.
Ma collègue est absente depuis le 25 avril; et elle vient de prolonger jusqu'au 6 août. Je crois que je n'aurai pas de vacances cette année.
Et il fait chaud, immensément chaud. Trop chaud. Je bois très peu d'eau et j'ai l'impression de fondre dans les transports. Et surtout, il fait trop chaud pour dormir. Du coup, je suis fatiguée. Du coup, j'ai des migraines. Du coup, j'ai du mal à tout. A être gentille, à être aimable, à sourire etc, mais ma Perle comprend, et elle fait tout pour que j'aille mieux rapidement, elle est top ma Perle :)
Je l'aime <3
Déjà, j'ai plus de placard. Enfin, si. J'ai un placard, mais je ne vis pas dedans. J'ai déménagé avec MA Perle.
Ça va faire 1 an et quelques mois déjà que je suis avec elle, (ça passe vraiment vite le temps !) et tout va bien =)
J'ai toujours des petits coups de blues à droite à gauche, mais ma Perle fait de son mieux pour me changer les idées quand ça m'arrive.
Ma collègue est absente depuis le 25 avril; et elle vient de prolonger jusqu'au 6 août. Je crois que je n'aurai pas de vacances cette année.
Et il fait chaud, immensément chaud. Trop chaud. Je bois très peu d'eau et j'ai l'impression de fondre dans les transports. Et surtout, il fait trop chaud pour dormir. Du coup, je suis fatiguée. Du coup, j'ai des migraines. Du coup, j'ai du mal à tout. A être gentille, à être aimable, à sourire etc, mais ma Perle comprend, et elle fait tout pour que j'aille mieux rapidement, elle est top ma Perle :)
Je l'aime <3
Ecrit par Volesprit, à 11:28 dans la rubrique Divers blablas.
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Mardi (18/04/17)
Monster - Imagine Dragons
"Monster"
Ecrit par Volesprit, à 12:25 dans la rubrique Divers blablas.
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Vendredi (02/12/16)
Petites news :)
La petite vie suit son cours tranquillement avec Ma Perle <3
Je suis heureuse, un peu préoccupée par-ci, par là; mais c'est rien comparé au bonheur d'être avec quelqu'un qui prend soin de moi, qui me fait rire et rêver, et qui s'investit dans notre relation :)
Les fêtes approchent et j'ai enfin pu manger mon premier chocolat du calendrier de l'avant (que je réclamait depuis un mois... ^^'), le froid s'installe au placard, mais je suis au chaud sous les couettes et collée à Ma Perle.
Je suis bien, ça fait du bien <3
Je suis heureuse, un peu préoccupée par-ci, par là; mais c'est rien comparé au bonheur d'être avec quelqu'un qui prend soin de moi, qui me fait rire et rêver, et qui s'investit dans notre relation :)
Les fêtes approchent et j'ai enfin pu manger mon premier chocolat du calendrier de l'avant (que je réclamait depuis un mois... ^^'), le froid s'installe au placard, mais je suis au chaud sous les couettes et collée à Ma Perle.
Je suis bien, ça fait du bien <3
Ecrit par Volesprit, à 08:53 dans la rubrique Divers blablas.
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Lundi (10/10/16)
N'anniversaire !
Vendredi, j'ai fêté une année de plus...
Ça passe tellement vite @_@
Résultat pour le moment: un super restau et des places pour Astérix, une carte, deux-trois appels par ci-par là, deux paquets de clopes !
Huhu, on voit les gens qui me connaissent bien ! ^^
Ce week-end, j'étais teeeellement bien =^___^=
Fatiguée et migraine pour pas changer...
Mais j'étais tellement bien dans ses bras. Si tranquille. J'ai même dis "merci" à je ne sais qui, parce qu'un moment aussi simple et parfait, ce n'est pas donné à tout le monde de l'avoir.
Donc je me suis dis que je devais remercier qui ou quoi, concours de circonstance, divinité ou que sais-je pour y avoir eu droit... :)
Ça passe tellement vite @_@
Résultat pour le moment: un super restau et des places pour Astérix, une carte, deux-trois appels par ci-par là, deux paquets de clopes !
Huhu, on voit les gens qui me connaissent bien ! ^^
Ce week-end, j'étais teeeellement bien =^___^=
Fatiguée et migraine pour pas changer...
Mais j'étais tellement bien dans ses bras. Si tranquille. J'ai même dis "merci" à je ne sais qui, parce qu'un moment aussi simple et parfait, ce n'est pas donné à tout le monde de l'avoir.
Donc je me suis dis que je devais remercier qui ou quoi, concours de circonstance, divinité ou que sais-je pour y avoir eu droit... :)
Ecrit par Volesprit, à 12:07 dans la rubrique Divers blablas.
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Mercredi (05/10/16)
J'aime les perles
J'aime les perles.
Celles du genre qu'on rencontre probablement qu'une seule fois dans sa vie...
Celles qui te font te sentir bien, qui prennent soin de te polir pour que tu brilles autant qu'elles.
Celles qui te forcent à garder le sourire parce qu'elles savent que quand tu souris, la vie te souris aussi.
J'ai trouvé une perle, et je l'aime beaucoup.
J'aimerai la porter aussi souvent que possible, pouvoir la suivre et l'élever aussi haut qu'elle essaye de le faire.
Elle est un peu bancale, ma perle, mais c'est ce que j'aime chez elle.
Elle est douce, mais parfois je peux sentir des aspérités à sa surface, comme si elle avait des cicatrices que le temps peine à effacer.
Elle est changeante, aussi, ma perle.
Elle peut être noire de colère; mais parfois lumineuse, comme un bout d'ange qui dépasserait de son sourire...
Je l'aime, et elle me rend heureuse, c'est tout :)
Celles du genre qu'on rencontre probablement qu'une seule fois dans sa vie...
Celles qui te font te sentir bien, qui prennent soin de te polir pour que tu brilles autant qu'elles.
Celles qui te forcent à garder le sourire parce qu'elles savent que quand tu souris, la vie te souris aussi.
J'ai trouvé une perle, et je l'aime beaucoup.
J'aimerai la porter aussi souvent que possible, pouvoir la suivre et l'élever aussi haut qu'elle essaye de le faire.
Elle est un peu bancale, ma perle, mais c'est ce que j'aime chez elle.
Elle est douce, mais parfois je peux sentir des aspérités à sa surface, comme si elle avait des cicatrices que le temps peine à effacer.
Elle est changeante, aussi, ma perle.
Elle peut être noire de colère; mais parfois lumineuse, comme un bout d'ange qui dépasserait de son sourire...
Je l'aime, et elle me rend heureuse, c'est tout :)
Ecrit par Volesprit, à 10:32 dans la rubrique Divers blablas.
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