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Je suis toute seule dans mon placard depuis ^plusieurs mois :)
Depuis septembre-octobre en fait.
Ca pouvait pas continuer, la peur de rentrer le soir, les disputes qui finissent à moitié en boucheries, les reproches à sens unique, les fautes unilatérale même si non, en vérité. Les mensonges éhontés et surtout, les manipulations.
Je ne suis pas une marionnette, je suis, n'en déplaise à Mon Dernier, HUMAINE.
J'ai droit de faire des erreurs, de les accepter, d'accepter les choses que je veux, et pas celles qu'on m'oblige à accepter. Je déteste mentir, surtout pour les autres. Surtout pour les autres qui ne pensent qu'à leur putain de gueule (BAM ! "In your face" comme ils disent, les gens).
Donc, des flics. Chez moi. Et moi qui tremble à l'idée de ce que je fais. Et puis le harcèlement.
Et puis l'acceptation, enfin. Le silence qui revient.
Je suis moi et moi. Et moi. Et les autres moi.
Je suis toujours aussi plurielle. Plurielle pour les amis, les ennemis, les potes, les peut-être, les définitivement NON.
Ca aussi on veut me faire accepter que je "devrait" dire "ok" selon certains critères énumérés à tel moment donné. Sauf que non, c'est non. Peu importe les critères au final. Non, je ne veux pas. C'est tout. Que ce soit moi, Moi, MOIIIII ou pas.
Non.
Sous prétexte que cette personne veut, moi je devrais ? Ca devrait forcément être comme ça ?
PARDON ?
Non. Depuis des années, je le dis et je le répète. Non. Simplement, si simplement non.
Accepte ou crève.
Coucher avec moi ? Et puis quoi encore ? Prendre soin de moi ? Fiche moi la paix.
Sortir avec moi ? Non merci, je suis fort aise toute seule.
Je suis finalement bien seule. J'aime mon célibat. 3-4 mois. Tout se passe bien.
J'ai du temps, j'ai plus à prendre en considérations des élucubrations sorties de nulle part.
Le silence, la tranquillité, le bien être des huiles essentielles et du chauffage d'appoint.
Les calins de mes peluches, qui prennent de plus en plus de place dans le cercueil, si près du plafond, et entouré comme un lit de bébé.
Mon cercueil. Mon placard. A MOI.
J'ai passé de merveilleuses fêtes de Nowel/Nouvel An. En vacances ailleurs, surtout le Nouvel An. Revu amie d'enfance, son copain, et deux amis à eux.
Je me suis vraiment bien amusée très très loin des gens de d'habitude.
Pas de prise de tête, des jeux de sociétés, comme avant. De l'alcool, et pas de gueule de bois.
Des bêtises, des surprises. De l'aide. Morale, financière, matérielle. Comment dire merci ?
Je l'ai déjà dit mais comment montrer une aussi grande gratitude ?
J'étais si bien à 1700m, au dessus des nuages, avec le coucher de soleil.
Tellement beau. Et tellement calme. Le calme de la montagne.
Le calme, calme. Merveilleux. Magnifique. Grandiose.
Et puis, des gens, serviables et rigolos. J'aime.
Je retourne travailler. Je suis fatiguée, et il n'y a plus grand chose à faire en cette première quinzaine de janvier. Semaine prochaine, ce sera la panique à bord. Alors, en attendant, j'en profite tant que j'ai un peu de temps et un bon état d'esprit, pour donner des nouvelles.
Un peu ras-le-bolistiques, les nouvelles.
Mais j'aime pas les gens.
Je le répèterai jamais assez.
Je n'aime pas les gens, surtout les nocifs.
Depuis septembre-octobre en fait.
Ca pouvait pas continuer, la peur de rentrer le soir, les disputes qui finissent à moitié en boucheries, les reproches à sens unique, les fautes unilatérale même si non, en vérité. Les mensonges éhontés et surtout, les manipulations.
Je ne suis pas une marionnette, je suis, n'en déplaise à Mon Dernier, HUMAINE.
J'ai droit de faire des erreurs, de les accepter, d'accepter les choses que je veux, et pas celles qu'on m'oblige à accepter. Je déteste mentir, surtout pour les autres. Surtout pour les autres qui ne pensent qu'à leur putain de gueule (BAM ! "In your face" comme ils disent, les gens).
Donc, des flics. Chez moi. Et moi qui tremble à l'idée de ce que je fais. Et puis le harcèlement.
Et puis l'acceptation, enfin. Le silence qui revient.
Je suis moi et moi. Et moi. Et les autres moi.
Je suis toujours aussi plurielle. Plurielle pour les amis, les ennemis, les potes, les peut-être, les définitivement NON.
Ca aussi on veut me faire accepter que je "devrait" dire "ok" selon certains critères énumérés à tel moment donné. Sauf que non, c'est non. Peu importe les critères au final. Non, je ne veux pas. C'est tout. Que ce soit moi, Moi, MOIIIII ou pas.
Non.
Sous prétexte que cette personne veut, moi je devrais ? Ca devrait forcément être comme ça ?
PARDON ?
Non. Depuis des années, je le dis et je le répète. Non. Simplement, si simplement non.
Accepte ou crève.
Coucher avec moi ? Et puis quoi encore ? Prendre soin de moi ? Fiche moi la paix.
Sortir avec moi ? Non merci, je suis fort aise toute seule.
Je suis finalement bien seule. J'aime mon célibat. 3-4 mois. Tout se passe bien.
J'ai du temps, j'ai plus à prendre en considérations des élucubrations sorties de nulle part.
Le silence, la tranquillité, le bien être des huiles essentielles et du chauffage d'appoint.
Les calins de mes peluches, qui prennent de plus en plus de place dans le cercueil, si près du plafond, et entouré comme un lit de bébé.
Mon cercueil. Mon placard. A MOI.
J'ai passé de merveilleuses fêtes de Nowel/Nouvel An. En vacances ailleurs, surtout le Nouvel An. Revu amie d'enfance, son copain, et deux amis à eux.
Je me suis vraiment bien amusée très très loin des gens de d'habitude.
Pas de prise de tête, des jeux de sociétés, comme avant. De l'alcool, et pas de gueule de bois.
Des bêtises, des surprises. De l'aide. Morale, financière, matérielle. Comment dire merci ?
Je l'ai déjà dit mais comment montrer une aussi grande gratitude ?
J'étais si bien à 1700m, au dessus des nuages, avec le coucher de soleil.
Tellement beau. Et tellement calme. Le calme de la montagne.
Le calme, calme. Merveilleux. Magnifique. Grandiose.
Et puis, des gens, serviables et rigolos. J'aime.
Je retourne travailler. Je suis fatiguée, et il n'y a plus grand chose à faire en cette première quinzaine de janvier. Semaine prochaine, ce sera la panique à bord. Alors, en attendant, j'en profite tant que j'ai un peu de temps et un bon état d'esprit, pour donner des nouvelles.
Un peu ras-le-bolistiques, les nouvelles.
Mais j'aime pas les gens.
Je le répèterai jamais assez.
Je n'aime pas les gens, surtout les nocifs.
Ecrit par Volesprit, le Mardi 12 Janvier 2016, 15:30 dans la rubrique Divers blablas.