Je stresse la psychologue.
La pauvre.

Faut dire que j'étais sur les nerfs et que je portais ce fichu corset depuis deux jours à courir partout. Et puis T qui me saoûle au boulot, jamais de silence, ou si, quand A se fout de ma gueule et attends que je prenne son appel parce qu'elle sait pas quoi en faire (alors qu'on lui a dit).

La pause s'étend avec Laurent, j'attends de voir s'il change vraiment cette fois, ne pas me faire avoir -une semaine et plus aucune résolution- et agir en fonction de si oui ou pas.
Pas de place pour les sentiments quand à la fin de journée on a soit envie de câliner une personne, soit de l'étriper dans le calme le plus total.
C'est pas ma vie qui est en jeu...
Si tout va bien, on prendra un appartement plus grand.
Sinon... La fin d'une belle relation amour-haine :)

On est dimanche, je n'ai pas pris les cachets pour dormir hier, j'ai chanté et je me suis couchée vers 1h et quelques. Réveillé vers 5, 6, 7 et enfin 8h30.
Une heure acceptable pour un dimanche. Sans cachets.
Et je me sens pas très fatiguée, pour une fois.
Peut être parce qu'il fait beau, peut être parce que j'ai (vaguement) rangé la chambre hier, peut être parce que j'ai terminé les papiers en retard (envoi lundi *-*), peut être parce que S est là, peut être parce que j'ai un chocolat chaud sous le nez, peut être parce que j'écris sur le blog, peut être parce que j'ai pas pris de cachets pour dormir hier.
Tant de peut être, "et si..."

Je cherche un ancien poème que ma soeur avait appris sur le "et si".
La fin devait être "avec des si, on referait le monde"...
Je ne le trouve pas. Je lui demanderai, peut être... :)

Chocolat froid, je vais en refaire un autre.