Humeur égale à celle d'hier.
Je suis fatiguée, je bouge pas du lit.
Je sais qu'il va arriver tard, et que je pourrais me reposer en attendant, mais j'y arrive pas, la hantise du moment où "c'est bon, je suis là, tu viens me chercher ?" rencontrera ma non-envie de bouger de mon lit.

J'ai pris mon xanax de 18h, pourtant. Trop de chocolat tue le médoc ?
Ou bien, comme avait dit le monsieur psychiatre "augmenter les doses, prenez en un si vous ressentez le besoin". Mais est-ce nécessaire ?

Je devrais peut être arrêter, tout simplement. Arrêter de me poser des questions, de penser aux psy-chiatres-chologues et écouter mon chéri et mon ami: arrêter les cachets.
Un mauvais moment à passer, je sais, mais je vois toujours pas l'utilité.
Ni la mienne, d'utilité, d'ailleurs.

J'ai la tête qui va exploser, ça part dans tous les sens là-dedans.
Elles commencent à se réveiller, ça n'augure rien de bon.
Acouphènes en pagaille, pensées en vrilles, voix dans la tête, être ailleurs.

Ca va recommencer, le bordel dans la piaule sans que j'ai rien penser.
Appeler le cmp... Ou la psy...
Rapidement.