Là-bas, là-bas et ici.
Là-bas j'ai eu confirmation que ma lettre avait bien été reçue et surtout lue par tout le monde.
Il parait que ça a fait pleurer les gens. Je ne pense pas.
On m'a dit qu'elle avait fait un AVC à cause de MA lettre. Mais qu'elle était pas contente que je lui renvoie le chèque. Bah quoi ? Pas besoin. Besoin de rien.
On a fait des copies de ma lettre, visiblement ce que j'ai mis dedans touchait pas mal de monde.
J'ai pu la relire (enfin, une copie), et re-relire et re-re-re-re-relire je ne sais combien de fois, et je ne vois toujours pas en quoi ça aurait pu la mettre dans un état pareil (elle a dû s'assoir pour la lire qu'on m'a dit, ah bon.).
Je vois madame la psy demain, je lui montrerai la lettre, elle m'a encouragée à l'écrire.
Je verrais bien, d'un oeil de psy elle comprendra peut être le pourquoi du comment.
J'ai été privée d'alcool pour "raison médicale - médoc" là-bas, chez le Père.
Humf. J'ai pris une bière sucrée à 3% seulement pour prendre l'apéro et jouer à la crapette avec eux. Ca a pas plut. Tant pis.
J'aurais trèèèès bien pu me faire une ou deux bouteilles de vins qui trainaient dans ma chambre... Transformée en cave à vin dû aux modifications apportées à la maison.
Sauf que je l'ai pas fait, j'ai joué le jeu; mais tout de même, MAGNIFIQUE ironie et tentation de la part du Père, pour quelqu'un qui essaye d'arrêter de boire.
Bref. Beaucoup discuté avec la soeurette et le Père. Je les inquiète. "Tu es comme Jean-No".
Je suis comme mon grand demi-frère. Alcool, toussa... Ah Ah AH AH AH !!
En même temps on a peut être eu plus de choses à digérer et du mal avec ce qu'on nous a fait, hein ?
Mais ça... Il parait que le temps arrange tout. Hum. Pas pour des mémoires comme les notre visiblement. Ca empire avec le temps, même, pour que ça soit bien comme il faut pas bien. AH AH.
On m'a taxé de provocation. Oui, c'est vrai. Mais je ne vais pas me priver d'un truc PAS FORT à l'apéro, alors que VOUS BUVIEZ TOUS DU ROSE A TABLE.
MERCI DE VOTRE PUTAIN D'AIDE. SOS ALCOOL ! Quoi, merde ?!
Et pour information, NON je n'ai pas bu une seule goutte d'alcool depuis que je suis partie de là-bas, j'ai dormi dans le là-bas numéro 2 (chez Laurent ;)), et après je me suis levée à 6h pour partir avec lui à Sucy pour que je fasse un peu de tri et que j'embarque mes affaires ici.
J'ai pris 3 gros sacs, ce fut dur et (très) lourd, mais j'y suis arrivée.
Et depuis ce matin 8h, j'ai fait quoi ? Non, non, je n'ai pas pu la dernière bière ou le whisky.
J'ai rangé pendant 4h les tiroirs pour faire de la place pour ranger mes affaires.
J'ai fait une lessive et étendu le linge. J'ai passé l'aspirateur partout (même dans la chambre de la coloc). Et j'ai passé la serpi presque partout. Sauf dans les chambres à cause des tapis.
J'ai aussi vidé l'aspi vu que, visiblement la coloc ne l'avait pas fait depuis qu'elle était arrivée.
Et ENFIN, j'ai fini par écrire cet article, que je n'aime pas, mais comme dirait les psy-chiatres-chologues: faut que ça sorte.
VOILA. MERDE A LA FIN.
PS: J'me suis entaillée ce week-end, marrant hein ? Un ou deux points de suture aurait été nécéssaire pour mon bras, mais je vous ai pas emmerdé pour autant. J'ai fait avec un mouchoir et un vieux scotch.
JE VOUS AIME TOUS TAAAAANNNT.
Ironie. J'arrive pas à être de bonne humeur.
Je vous aime, et je vous déteste d'essayer de m'aider avec vos manières maladroites.
Il parait que ça a fait pleurer les gens. Je ne pense pas.
On m'a dit qu'elle avait fait un AVC à cause de MA lettre. Mais qu'elle était pas contente que je lui renvoie le chèque. Bah quoi ? Pas besoin. Besoin de rien.
On a fait des copies de ma lettre, visiblement ce que j'ai mis dedans touchait pas mal de monde.
J'ai pu la relire (enfin, une copie), et re-relire et re-re-re-re-relire je ne sais combien de fois, et je ne vois toujours pas en quoi ça aurait pu la mettre dans un état pareil (elle a dû s'assoir pour la lire qu'on m'a dit, ah bon.).
Je vois madame la psy demain, je lui montrerai la lettre, elle m'a encouragée à l'écrire.
Je verrais bien, d'un oeil de psy elle comprendra peut être le pourquoi du comment.
J'ai été privée d'alcool pour "raison médicale - médoc" là-bas, chez le Père.
Humf. J'ai pris une bière sucrée à 3% seulement pour prendre l'apéro et jouer à la crapette avec eux. Ca a pas plut. Tant pis.
J'aurais trèèèès bien pu me faire une ou deux bouteilles de vins qui trainaient dans ma chambre... Transformée en cave à vin dû aux modifications apportées à la maison.
Sauf que je l'ai pas fait, j'ai joué le jeu; mais tout de même, MAGNIFIQUE ironie et tentation de la part du Père, pour quelqu'un qui essaye d'arrêter de boire.
Bref. Beaucoup discuté avec la soeurette et le Père. Je les inquiète. "Tu es comme Jean-No".
Je suis comme mon grand demi-frère. Alcool, toussa... Ah Ah AH AH AH !!
En même temps on a peut être eu plus de choses à digérer et du mal avec ce qu'on nous a fait, hein ?
Mais ça... Il parait que le temps arrange tout. Hum. Pas pour des mémoires comme les notre visiblement. Ca empire avec le temps, même, pour que ça soit bien comme il faut pas bien. AH AH.
On m'a taxé de provocation. Oui, c'est vrai. Mais je ne vais pas me priver d'un truc PAS FORT à l'apéro, alors que VOUS BUVIEZ TOUS DU ROSE A TABLE.
MERCI DE VOTRE PUTAIN D'AIDE. SOS ALCOOL ! Quoi, merde ?!
Et pour information, NON je n'ai pas bu une seule goutte d'alcool depuis que je suis partie de là-bas, j'ai dormi dans le là-bas numéro 2 (chez Laurent ;)), et après je me suis levée à 6h pour partir avec lui à Sucy pour que je fasse un peu de tri et que j'embarque mes affaires ici.
J'ai pris 3 gros sacs, ce fut dur et (très) lourd, mais j'y suis arrivée.
Et depuis ce matin 8h, j'ai fait quoi ? Non, non, je n'ai pas pu la dernière bière ou le whisky.
J'ai rangé pendant 4h les tiroirs pour faire de la place pour ranger mes affaires.
J'ai fait une lessive et étendu le linge. J'ai passé l'aspirateur partout (même dans la chambre de la coloc). Et j'ai passé la serpi presque partout. Sauf dans les chambres à cause des tapis.
J'ai aussi vidé l'aspi vu que, visiblement la coloc ne l'avait pas fait depuis qu'elle était arrivée.
Et ENFIN, j'ai fini par écrire cet article, que je n'aime pas, mais comme dirait les psy-chiatres-chologues: faut que ça sorte.
VOILA. MERDE A LA FIN.
PS: J'me suis entaillée ce week-end, marrant hein ? Un ou deux points de suture aurait été nécéssaire pour mon bras, mais je vous ai pas emmerdé pour autant. J'ai fait avec un mouchoir et un vieux scotch.
JE VOUS AIME TOUS TAAAAANNNT.
Ironie. J'arrive pas à être de bonne humeur.
Je vous aime, et je vous déteste d'essayer de m'aider avec vos manières maladroites.
Ecrit par Volesprit, le Lundi 24 Novembre 2014, 15:25 dans la rubrique Divers blablas.