Oubli et peur
J'ai oublié mon Effexor et mon Xanax ce matin.
J'ai failli éclater sa putain de merde de tête du collègue qui gueule pour un rien sur sa position.
Il fait chier à gueuler d'un coup, pour rien. Un coup de folie (un peu comme Laurent, des fois à la maison). Toujours les mêmes conneries, et comme je comprends pas, ça me tourne dans la tête, de plus en plus vite et de plus en plus fort.
J'ai parlé pour une fois au bureau. Je lui ai crié "SILENCE". Je me suis exprimée.
Mais c'est parce qu'il était loin. Sinon je lui aurai bouffé la carotide et exploser la tête sur le bureau.
Ca aurait giclé de partout, et ça aurait été tellement de l'art, qu'il y aurait eu des banderolles pour éviter que les gens aillent toucher à ma belle oeuvre.
Ca aurait rendu service à pas mal de monde, d'après ce que j'ai compris.
Mais non, je suis bien élevée. J'ai juste demandé qu'il arrête.
Il l'a fait 5 minutes. Les collègues aussi. Probablement choqués que je puisse parler.
Bref.
Sur ma tournée, j'ai vu une voiture qui voulait me manger. Une grosse audi noire qui était grosse et qui attendait que je m'approche pour me manger.
Je veux pas être mangée. Alors j'ai fait un détour pour aller à la boite aux lettres.
J'ai vu des chats à quasiment toutes les maisons, aussi. Beaucoup de chats noirs, ou gris sombres.
La batterie du vélo m'a lâchée, aussi. A la fin de la tournée, heureusement. Mais j'ai dû pédaler jusqu'au bureau avec le vélo qui pèse trois tonnes sans aide.
J'adore le chocolat qui sort de la machine à café !.
Et euh...
Je ne sais pas si c'est le bon. Mais je ne veux pas l'abandonner alors qu'il a besoin de moi. Tout comme je ne veux pas être abandonnée. Même si j'ai déjà pensé à arrêter. Je n'ai pas peur de la solitude, juste du sentiment de douleur qui accompagne le début de la solitude (ou bien le milieu ?)
Bref. Je ne sais toujours pas ce qu'il me faut. Et je ne me suis pas reconnue quand j'ai lu mon article d'hier. Tellement de fautes ! J'ai envie de les corriger, mais ça ne serait pas correct.
J'ai failli éclater sa putain de merde de tête du collègue qui gueule pour un rien sur sa position.
Il fait chier à gueuler d'un coup, pour rien. Un coup de folie (un peu comme Laurent, des fois à la maison). Toujours les mêmes conneries, et comme je comprends pas, ça me tourne dans la tête, de plus en plus vite et de plus en plus fort.
J'ai parlé pour une fois au bureau. Je lui ai crié "SILENCE". Je me suis exprimée.
Mais c'est parce qu'il était loin. Sinon je lui aurai bouffé la carotide et exploser la tête sur le bureau.
Ca aurait giclé de partout, et ça aurait été tellement de l'art, qu'il y aurait eu des banderolles pour éviter que les gens aillent toucher à ma belle oeuvre.
Ca aurait rendu service à pas mal de monde, d'après ce que j'ai compris.
Mais non, je suis bien élevée. J'ai juste demandé qu'il arrête.
Il l'a fait 5 minutes. Les collègues aussi. Probablement choqués que je puisse parler.
Bref.
Sur ma tournée, j'ai vu une voiture qui voulait me manger. Une grosse audi noire qui était grosse et qui attendait que je m'approche pour me manger.
Je veux pas être mangée. Alors j'ai fait un détour pour aller à la boite aux lettres.
J'ai vu des chats à quasiment toutes les maisons, aussi. Beaucoup de chats noirs, ou gris sombres.
La batterie du vélo m'a lâchée, aussi. A la fin de la tournée, heureusement. Mais j'ai dû pédaler jusqu'au bureau avec le vélo qui pèse trois tonnes sans aide.
J'adore le chocolat qui sort de la machine à café !.
Et euh...
Je ne sais pas si c'est le bon. Mais je ne veux pas l'abandonner alors qu'il a besoin de moi. Tout comme je ne veux pas être abandonnée. Même si j'ai déjà pensé à arrêter. Je n'ai pas peur de la solitude, juste du sentiment de douleur qui accompagne le début de la solitude (ou bien le milieu ?)
Bref. Je ne sais toujours pas ce qu'il me faut. Et je ne me suis pas reconnue quand j'ai lu mon article d'hier. Tellement de fautes ! J'ai envie de les corriger, mais ça ne serait pas correct.
Ecrit par Volesprit, le Mercredi 5 Novembre 2014, 15:58 dans la rubrique Divers blablas.