Cachets
C'est dingue le nombre d'Imovane qu'on peut prendre en une journée.
En réalité, un seul au moment du coucher... Mais ça passellement te vite que j'ai l'impression de vider la moitié de la boîte en une fois.haleine,
L'Altère- je l'ai même pas calculé. Il en restait si peu que j'ai versé le tout dans le verre, et j'ai même l'impression, au goût, qu'il y avakit moins de 30 gouttes.
Je suis naze, mais je veux expliquer, et qu'on me comprenne alors j'écris ce qui me passe par la tête.
Je suis crevée. J'ai mangé un kaki devant Buffy avec le vin rouge (je l'ai déjà dit ?). Laurent'il
Et là j'ai mis le cd, en disant à qu n'aurait qu'à débrancher mon pc pour que le pc s'arrête et la musique aussii.
J'ai ^ris les cachets. Mais l'alcool était envore là, et j'ai la flemme de me corriger. Je pense à pleins de gens, des amis. D, la Giilsrouette, ma soeur, Laurent.
état ?
Que diraient- s'ils me voyaient dans cet
Avec ce raccourcis clavier, qui remonte mes moitiés de phrase sur celle d'au dessus. techniquement
Je me demande si ce sera compréhensible.q
Je suis fatiguée, naze.
J'ai envie de me noyer dans l'alcool, même si, je suis déjà bien amochée, avec les cachetons et le martini/vodka/vin rouge.
j'ai essayé d'expliquer à L'aurent (alcool oblige ?) ma "maladie de tête".
Mais je crois qu'il a pascompris. Ou qu'il continue de ne pas comproendre.
Il ù'a dit qu'il étgait fatigué aussi, qu'il n'avait pas eu de pause depuis mon hospitalisation. J'en ai pas eu non plus, mon cher.
J'ai voulu te faire un cadeau d'anniveersaire alors j'ai pris le boulot, alors que je suis épuisée de la tete, psychiquement, mentalement.
Envie de hurler et de dormir en même temps.
"mayday ?"
Je ne me comprend pas. Un coup oui, un coup non.
Et j'ai recommencé à boire. Pardon ma soeur, pardson, parsdon, pardon.
Je n'y arriverais pas. Je crois pas. Pas de ma volonté.
J'aimerais retourner à l'hopital psy de Melun "Constance Pascale".
Que j'y étais au calme... J'avais pas faim ? On me laissait un plateau repas que je ne touchais pas. Je voulais dormir ? On me laissait dormir toute la journée et toute ;a nuit si j'avais envie.liers
Je voulais pas de visite ? Je le diisais. Et on laissait passer personne.
Je voulais "parler" à d'autres suicidants ? Y avait des ate pour ça.
Et J'ETAIS AU CALLEM !
bref, fatigué". Lecture d'un chaître d'Anna Gavalda (desolée si j'écorche le nom), et dodo.
Bonne nuit ?
En réalité, un seul au moment du coucher... Mais ça passellement te vite que j'ai l'impression de vider la moitié de la boîte en une fois.haleine,
L'Altère- je l'ai même pas calculé. Il en restait si peu que j'ai versé le tout dans le verre, et j'ai même l'impression, au goût, qu'il y avakit moins de 30 gouttes.
Je suis naze, mais je veux expliquer, et qu'on me comprenne alors j'écris ce qui me passe par la tête.
Je suis crevée. J'ai mangé un kaki devant Buffy avec le vin rouge (je l'ai déjà dit ?). Laurent'il
Et là j'ai mis le cd, en disant à qu n'aurait qu'à débrancher mon pc pour que le pc s'arrête et la musique aussii.
J'ai ^ris les cachets. Mais l'alcool était envore là, et j'ai la flemme de me corriger. Je pense à pleins de gens, des amis. D, la Giilsrouette, ma soeur, Laurent.
état ?
Que diraient- s'ils me voyaient dans cet
Avec ce raccourcis clavier, qui remonte mes moitiés de phrase sur celle d'au dessus. techniquement
Je me demande si ce sera compréhensible.q
Je suis fatiguée, naze.
J'ai envie de me noyer dans l'alcool, même si, je suis déjà bien amochée, avec les cachetons et le martini/vodka/vin rouge.
j'ai essayé d'expliquer à L'aurent (alcool oblige ?) ma "maladie de tête".
Mais je crois qu'il a pascompris. Ou qu'il continue de ne pas comproendre.
Il ù'a dit qu'il étgait fatigué aussi, qu'il n'avait pas eu de pause depuis mon hospitalisation. J'en ai pas eu non plus, mon cher.
J'ai voulu te faire un cadeau d'anniveersaire alors j'ai pris le boulot, alors que je suis épuisée de la tete, psychiquement, mentalement.
Envie de hurler et de dormir en même temps.
"mayday ?"
Je ne me comprend pas. Un coup oui, un coup non.
Et j'ai recommencé à boire. Pardon ma soeur, pardson, parsdon, pardon.
Je n'y arriverais pas. Je crois pas. Pas de ma volonté.
J'aimerais retourner à l'hopital psy de Melun "Constance Pascale".
Que j'y étais au calme... J'avais pas faim ? On me laissait un plateau repas que je ne touchais pas. Je voulais dormir ? On me laissait dormir toute la journée et toute ;a nuit si j'avais envie.liers
Je voulais pas de visite ? Je le diisais. Et on laissait passer personne.
Je voulais "parler" à d'autres suicidants ? Y avait des ate pour ça.
Et J'ETAIS AU CALLEM !
bref, fatigué". Lecture d'un chaître d'Anna Gavalda (desolée si j'écorche le nom), et dodo.
Bonne nuit ?
Ecrit par Volesprit, le Mardi 4 Novembre 2014, 21:23 dans la rubrique Divers blablas.
Commentaires :
D'autres fois on perd pied, on glisse, on tombe, on se relève et on retombe alors on reste par terre, dans le fond de la bouteille, dans le fond du verre.
Par moment on tend la main, le bras, le corps, on crie à l'aide, silencieusement, sans un bruit, sans un mot, comme une petite chose, pleine de souffrance et d'incompréhension, et on repense au miroir, aux reflets, au quandiraton, un pied dedans, un pied dehors...
Ici, on sait déjà identifier la génèse de votre malaise, de votre mal être, c'est déjà ca. Identifier, trouver, réparer? non, oublier ? encore moins, alors ? alors, vivre avec ou sans c'est selon.
jour après jours, se dire qu'on a 24 ans, que tout reste à bâtir, que tout reste à faire, y penser biensur, tous les jours un petit peu, mais ne plus bloquer, avancer.
Etes vous certaine qu'il est le bon ? vu d'ici, on doute, et limite même, on pense que par moment, vous le sentez, le ressentez, mais que la peur vous tient, cette peur raisonnée ou déraisonnée, de l'abandon, de la solitude...bien plus tard, on dira qu'il vaut mieux être seul(e) que mal accompagné(e), oui, mais en attenant...
24 ans putain !
Faut pas vous mettre dans des états pareils, demain, le soleil se levera quand même, sur une autre journée, semblable et différente...
C'est difficile, je sais, qui a dit que c'était facile ? pas moi, mais pas besoin d'être fort ou forte, faut juste avoir envie...
Je m'en veux, tu t'en veux, nous nous en voulons...ou...nous voulons, tu veux, je veux !
demain, le soleil se levera quand même, et après demain aussi, il brillera pour tous, même pour vous, suffit de lever les yeux, et de voir au delà des nuages...